Trois professionnels discutent d'une stratégie de relance automatique dans un bureau moderne, graphique de performance en fond.

Comment automatiser la relance client en mode no-code

Introduction

Saviez-vous que 44 % des commerciaux abandonnent après une seule relance, alors que 80 % des ventes requièrent au moins 5 relances pour être conclues ? technique-de-vente.com

Ces chiffres frappants illustrent l’importance cruciale de la relance client dans le processus de vente. Pourtant, dans la réalité, bon nombre de PME et de commerciaux la négligent, souvent faute de temps ou par crainte d’ennuyer le prospect. C’est d’autant plus dommage que maîtriser l’art du suivi peut littéralement doubler ou tripler le chiffre d’affaires à moyen terme technique-de-vente.com

. En d’autres termes, chaque opportunité non relancée est potentiellement une vente qui s’envole.

En effet, sur un marché compétitif comme celui du Luxembourg, laisser « filer » un client potentiel sans le relancer peut coûter cher. Plus de la moitié des PME luxembourgeoises ont accéléré leur digitalisation ces dernières années pour rester dans la course kevinsayrignac.lu

. Cependant, beaucoup hésitent encore à automatiser leur suivi client, freinées par la complexité technique perçue ou le budget nécessaire. Bonne nouvelle : il est désormais possible d’automatiser les relances sans écrire une seule ligne de code. Imaginez pouvoir programmer des rappels et des suivis personnalisés qui se déclenchent tout seuls, pendant que vous, vous concentrez sur les prospects les plus chauds. Cet article vous explique comment les commerciaux, dirigeants de PME, recruteurs ou entrepreneurs locaux peuvent adopter une solution no-code pour ne plus jamais laisser une affaire en suspens.

Relancer ses clients : un impératif trop souvent négligé

Relancer un prospect après un premier contact ou une proposition commerciale n’est pas un luxe, c’est une nécessité. Comme le dit l’adage, « la vente commence quand le client dit non ». Or, près de la moitié des vendeurs abandonnent dès le premier refus ou l’absence de réponse salesodyssey.fr

. Ce manque de persévérance représente un manque à gagner énorme. Plus d’un tiers des leads contactés ne donnent jamais suite – souvent parce qu’ils n’ont tout simplement pas été relancés correctementl agrowthmachine.com

. C’est autant d’opportunités laissées sur la table, alors qu’une relance bien ficelée, sur le bon canal et au bon moment, peut faire basculer la décision du bon côté.

Pourquoi la relance est-elle si indispensable ? D’abord, peu de ventes se concluent du premier coup. Le prospect a besoin d’être rassuré, relancé, parfois sur plusieurs semaines, avant de dire oui. 60 % des clients disent « non » quatre fois avant de finalement dire « oui » lagrowthmachine.com

. Sans suivi actif de votre part, ces clients potentiels risquent d’aller voir ailleurs ou d’oublier purement et simplement votre offre. Ensuite, la relance permet de rester présent à l’esprit du prospect (top-of-mind), de montrer votre sérieux et votre envie de travailler avec lui. Un client relancé avec tact percevra cela comme du professionnalisme plutôt que comme de l’insistance déplacée.

Pourtant, soyons honnêtes, la relance client peut vite devenir chronophage. Passer ses journées à envoyer des emails de rappel ou à laisser des messages vocaux, cela prend du temps – du temps qui n’est pas consacré à la conquête de nouveaux clients ou à des tâches plus stratégiques. Les employés de bureau consacrent plus de 50 % de leur temps à des tâches administratives répétitives (saisie de données, suivi de documents, etc.) processmaker.com

. La relance manuelle fait sans conteste partie de ces tâches chronophages. Heureusement, des méthodes existent pour gagner en efficacité sans rogner sur le suivi : c’est là qu’intervient l’automatisation, désormais à la portée de tous grâce au no-code.

(Votre cycle commercial ne s’arrête pas après le premier rendez-vous – c’est même à cette étape critique de suivi que se joue souvent la conclusion. Comme le souligne notre article sur le cycle de vente, une phase de nurturing et de relance régulière est vitale pour transformer un « peut-être » en « oui ». Ne pas la prendre au sérieux, c’est risquer de saboter tous les efforts consentis en amont.)

Automatiser sans code : gagnez du temps et des ventes

Imaginez pouvoir confier ces tâches de suivi répétitives à une « petite main numérique » qui ne dort jamais et n’oublie rien. Automatiser vos relances client en mode no-code, c’est exactement cela : vous programmez une série d’actions qui s’exécuteront automatiquement, sans effort supplémentaire de votre part. Résultat : plus aucun prospect ne tombe dans l’oubli, et vous récupérez de précieuses heures dans votre semaine. Cette efficacité accrue se traduit directement en chiffre d’affaires : selon HubSpot, les entreprises qui automatisent leur processus de relance constatent une augmentation de 10 à 20 % de leur taux de conversion en moyenne kevinsayrignac.lu

. Au Grand-Duché, où chaque vente peut faire la différence face à la concurrence locale et frontalière, un tel gain peut être décisif.

Les avantages de l’automatisation no-code sont multiples. Premier bénéfice : le gain de temps. Vous n’avez plus besoin de penser à relancer X ou Y : le système le fait pour vous aux intervalles que vous avez définis. Vous pouvez ainsi consacrer davantage de temps aux tâches à haute valeur ajoutée (démonstrations produit, négociations finales, rencontres clients) au lieu de gérer des envois d’emails répétitifs. D’ailleurs, la productivité est un enjeu de survie pour 72 % des PME luxembourgeoises kevinsayrignac.lu

– automatiser les relances contribue directement à cette productivité, en éliminant des tâches manuelles sans intérêt.

Deuxième bénéfice : la fiabilité et la régularité. L’automatisation ne « oublie » jamais de relancer un client. Fini le client potentiel perdu parce que son dossier est resté coincé au fond d’un tableur Excel ou d’un agenda surchargé. Par conséquent, votre processus de vente gagne en cohérence. Chaque prospect reçoit un suivi structuré, dans les mêmes délais optimaux, ce qui augmente les chances de le convertir sur la durée. Une étude montre ainsi que le taux de réponse des prospects augmente de 49 % après une première relance par email salesodyssey.fr

. En relançant systématiquement, vous créez plus d’interactions et donc plus d’opportunités de conclure la vente.

Troisième bénéfice : la personnalisation à grande échelle. Automatiser ne veut pas dire robotiser froidement. La plupart des outils de relance automatique permettent de personnaliser vos messages avec le nom du client, le produit qui l’intéresse, ou tout autre détail pertinent. Vous pouvez même segmenter vos relances en fonction du profil du prospect ou de son comportement (par exemple, un email de suivi différent s’il a cliqué sur votre précédente offre vs. s’il ne l’a pas ouverte du tout). Cette approche maintient une touche humaine dans des envois pourtant gérés par une machine. On obtient ainsi le meilleur des deux mondes : de la productivité sans perdre en qualité de relation.

Enfin, n’oublions pas l’aspect psychologique : automatiser les relances, c’est aussi vous libérer l’esprit. Plus besoin de stresser en se demandant si on a bien pensé à rappeler un tel ou si on dépasse les limites en termes de relances. Vous définissez une stratégie (par exemple 3 relances espacées d’une semaine chacune), vous la mettez en place, puis la machine s’exécute. Cela n’empêche pas d’intervenir personnellement quand le prospect manifeste un intérêt (au contraire, c’est le but), mais cela évite les deux écueils classiques : en faire trop (harceler par oubli de ce qui a déjà été fait) ou pas assez (laisser filer faute de suivi). Comme l’explique un expert du logiciel Creatio, « les PME n’ont jamais eu autant de solutions accessibles pour automatiser la gestion client… sans nécessité de formation technique » kevinsayrignac.lu

. En clair, plus besoin d’être ingénieur ou de disposer d’une équipe IT pour profiter de ces bénéfices : vous pouvez le faire vous-même, simplement, en quelques clics.

Quelles solutions no-code pour automatiser vos relances ?

Bonne nouvelle : il existe aujourd’hui de nombreux outils simples, abordables et sans code pour mettre en place vos relances automatisées. Que vous soyez une petite agence locale ou un commercial indépendant, vous pouvez trouver une solution adaptée à votre besoin et à vos outils actuels. Voici quelques catégories d’outils et exemples concrets qui peuvent vous aider à passer à l’action :

  • Votre CRM ou logiciel d’emailing, avec ses fonctionnalités intégrées. Si vous utilisez déjà un CRM (par ex. HubSpot, Pipedrive, Zoho…) ou un outil d’emailing marketing (MailChimp, Sendinblue, etc.), sachez que beaucoup proposent des fonctionnalités de workflow automatique ou de campagnes de suivi. Par exemple, HubSpot permet de créer des séquences de relance email personnalisées (Sequences) qui s’envoient automatiquement à vos leads à des intervalles prédéfinis. De même, des logiciels de vente comme noCRM.io ou Salesforce offrent la possibilité de planifier des tâches de suivi ou des emails automatiques quand un deal est inactif depuis X jours.
  • L’avantage : pas besoin d’ajouter un nouvel outil si votre système actuel sait déjà le faire. Jetez un œil dans les paramètres de votre CRM : il se pourrait que vous ayez un trésor caché à activer.
  • Les plateformes d’automatisation généralistes (no-code). Ce sont des outils conçus spécifiquement pour connecter entre eux différents services et automatiser des flux de travail, sans programmation. Les plus connues s’appellent Zapier ou Make.com (ex-Integromat). Elles fonctionnent toutes deux de façon similaire : on définit un événement déclencheur (trigger) puis une ou plusieurs actions. Illustration concrète : à chaque fois qu’un nouveau lead est créé dans votre CRM ou que vous déplacez une affaire en “Proposition envoyée”, le système peut déclencher l’envoi d’un email de relance automatique 3 jours plus tard si aucune réponse n’a été enregistrée. Zapier et Make.com offrent une interface visuelle où l’on peut, en glisser-déposer, bâtir ce scénario en quelques minutes kevinsayrignac.lu
  • . Ces outils peuvent s’interfacer avec des milliers d’applications (votre boîte mail, votre calendrier, LinkedIn, Google Sheets, etc.), ce qui ouvre un champ immense. Au Luxembourg comme ailleurs, de nombreuses petites entreprises utilisent déjà ces plateformes pour éliminer les tâches manuelles répétitives. L’apprentissage est rapide et nul besoin de savoir coder : on choisit simplement parmi des menus déroulants l’action souhaitée (“envoyer un email type à telle adresse avec tel contenu”) et le tour est joué.
  • Les applications spécialisées sales automation. Il existe également des solutions dédiées à la relance multi-canal des prospects, très utiles pour les commerciaux et growth hackers. Par exemple, des outils comme LaGrowthMachine ou Lemlist permettent de créer des séquences combinant email et messages LinkedIn automatisés pour multiplier les points de contact. Une plateforme locale comme Leadseed (utilisée au Luxembourg) peut aussi qualifier un prospect puis automatiser son suivi via email. Ces logiciels spécialisés demandent généralement un petit investissement, mais offrent un véritable pilote automatique pour votre prospection. Imaginons un scénario : J’envoie un premier email d’introduction, si pas de réponse sous 5 jours alors le système envoie automatiquement un second email de relance plus concis, puis me connecte au prospect sur LinkedIn et lui envoie un message type le lendemain. Toutes ces étapes peuvent être pré-paramétrées, tout en gardant la possibilité d’intervenir manuellement à tout moment. L’intérêt : maximiser vos chances de contact en variant les canaux et en vous assurant qu’aucun lead ne tombe aux oubliettes, le tout sans effort additionnel au quotidien.
  • Les outils de relance client pour les impayés et la facturation. La “relance client” ne concerne pas que la prospection commerciale, elle est aussi cruciale pour récupérer les paiements dus. Là encore, des solutions no-code existent. Par exemple, un logiciel comme LeanPay ou Upflow envoie automatiquement des emails de rappel aux clients dont la facture arrive à échéance, avec un ton courtois et professionnel. Vous pouvez tout à fait intégrer ce type d’outil pour améliorer votre trésorerie sans y passer vos soirées. Autre exemple plus simple : via Zapier, connectez votre outil de facturation (QuickBooks, Excel ou autre) à Gmail pour que chaque lundi parte un rappel personnalisé aux clients dont la facture est en retard. Vous sécurisez ainsi votre cash-flow tout en gardant une bonne relation client (grâce à des messages de relance polis, programmés à l’avance).

En résumé, il n’a jamais été aussi facile d’automatiser la relance client grâce à ces outils sans code. Que vous préfériez exploiter les fonctionnalités cachées de votre CRM, bâtir vos propres scénarios sur Zapier/Make, ou adopter un logiciel clé-en-main conçu pour ça, vous trouverez forcément une solution adaptée à votre niveau et à votre budget. L’important est de choisir un outil avec lequel vous vous sentez à l’aise et qui s’intègre bien dans votre écosystème existant (votre liste de contacts, votre agenda, etc.).

Se lancer : comment automatiser vos relances pas à pas

Vous êtes convaincu de l’intérêt d’automatiser vos relances client, mais vous vous demandez par où commencer concrètement ? Rassurez-vous, la démarche est à la fois simple et progressive. Inutile de révolutionner tout votre processus du jour au lendemain : l’idéal est d’y aller étape par étape. Voici un plan d’action pratique pour mettre en place vos premières relances automatiques no-code :

  1. Cartographiez vos points de relance. Commencez par identifier quand et qui vous devez relancer. S’agit-il des prospects à qui vous avez envoyé un devis sans réponse ? Des clients existants qu’il faudrait recontacter pour un upsell ou une satisfaction post-projet ? Des candidats rencontrés par un recruteur ? Listez ces cas d’usage concrets. Par exemple : “relance à J+3 après envoi de proposition commerciale si pas de réponse”, ou “relance 6 mois après un achat pour proposer un service complémentaire”. Cette clarification vous permettra de paramétrer des scénarios pertinents et non intrusifs (on évite de relancer trop tôt ou trop souvent en définissant bien les délais).
  2. Choisissez l’outil approprié. En fonction de vos besoins et de votre environnement logiciel actuel, sélectionnez la solution no-code qui fera le boulot. Par exemple, si toute votre base client est dans Excel, une simple automatisation via Make.com peut suffire (Make ira lire votre fichier Excel et envoyer les emails). Si vous utilisez un CRM moderne, testez d’abord ses capacités internes de workflow. Si vous voulez orchestrer des relances sur plusieurs canaux (email + LinkedIn), tournez-vous vers un outil dédié comme LaGrowthMachine ou un enchaînement de Zaps sur Zapier. L’important est de démarrer avec un outil que vous maîtrisez : l’idée n’est pas de vous ajouter une complexité, mais de vous simplifier la vie. Bon à savoir : beaucoup de ces plateformes offrent des versions gratuites ou des essais, amplement suffisants pour un premier jet (Zapier et Make ont par exemple des plans gratuits avec quelques automatisations de base).
  3. Créez votre scénario de relance automatique. C’est le cœur du sujet. Sur votre outil choisi, configurez le workflow de suivi. Un exemple simple : “Si aucun email reçu du prospect 3 jours après l’envoi du devis, alors envoyer automatiquement un email de relance avec objet ‘Des nouvelles de notre offre ?’”. Veillez à personnaliser le contenu de vos messages automatiques : utilisez les balises disponibles (nom, entreprise, date de la demande, etc.) pour que l’email ne paraisse pas générique. Déterminez aussi le bon rythme : par exemple, première relance à J+3, deuxième à J+10, puis éventuellement un appel téléphonique planifié à J+15 si toujours rien. La plupart des outils no-code offrent une interface très intuitive pour ça, souvent sous forme de ligne de temps ou de blocs à agencer. Par ailleurs, pensez à intégrer des conditions intelligentes si possible : par exemple “arrêter la séquence si le client a répondu entre-temps” (histoire de ne pas envoyer un rappel à quelqu’un qui vient de vous appeler !). Ces garde-fous éviteront les maladresses.
  4. Testez en interne avant de déployer. C’est une étape à ne pas sauter. Une fois votre scénario créé, faites un test sur vous-même ou avec un collègue. Simulez la situation (par exemple, créez un faux prospect Test dans le CRM pour voir si les emails partent bien). Vérifiez que les messages s’enchaînent comme prévu, que les personnalisations fonctionnent, et que les délais sont respectés. Cette phase vous permettra d’ajuster les détails : peut-être que le ton de l’email est à affiner, ou que le timing est trop court/long. Mieux vaut s’en rendre compte en test qu’avec un vrai client. Lorsque tout vous paraît satisfaisant, vous pouvez déployer “en vrai” sur vos prospects actuels. D’ailleurs, l’astuce de nombreuses PME locales qui réussissent est de commencer par un flux simple puis d’étoffer progressivement kevinsayrignac.lu
  5. . Par exemple, automatiser d’abord un seul email de remerciement post-rendez-vous, voir l’impact, puis ajouter une seconde relance quelques jours plus tard, etc. Cela vous permet d’apprivoiser l’outil sans stress et de montrer rapidement des résultats en interne.
  6. Surveillez les résultats et ajustez. L’automatisation ne signifie pas qu’on fait feu de tout bois sans jamais regarder derrière. Au contraire, profitez des statistiques fournies par vos outils : taux d’ouverture des emails de relance, taux de réponse, nombre de relances moyen avant conversion, etc. Ces données vous aideront à optimiser votre stratégie. Par exemple, si vous constatez que quasiment toutes les réponses positives arrivent après la première relance, peut-être que la deuxième relance est superflue (ou à revoir). Si au contraire vous voyez qu’une troisième relance génère encore des réponses, vous pourriez envisager d’en ajouter une quatrième plus tardive. L’objectif est d’affiner le curseur pour maximiser vos conversions sans tomber dans l’excès. N’hésitez pas non plus à demander le ressenti de vos prospects devenus clients : “Notre email de suivi était-il utile pour vous ?”. Leurs retours qualitatifs sont précieux. Enfin, rappelez-vous qu’une automatisation réussie doit évoluer avec votre activité : de nouveaux produits, de nouveaux types de clients, et hop, on adapte ou on crée de nouvelles séquences de relance automatiques.

En suivant ces étapes, vous allez progressivement mettre en place une véritable machine de suivi commercial qui travaille en arrière-plan pour vous. Vous ressentirez très vite la différence : d’un côté, moins de stress et d’oubli, de l’autre, davantage de retours de prospects et in fine plus de ventes conclues.

Conclusion : plus aucune opportunité ne vous échappera

En adoptant l’automatisation no-code pour vos relances client, vous transformez une corvée en un atout stratégique. Fini les clients oubliés faute de temps, fini les ventes manquées par manque de suivi : chaque prospect reçoit l’attention qu’il mérite, sans effort supplémentaire de votre part. Pour les PME luxembourgeoises, commerciaux et entrepreneurs de la Grande Région, c’est une occasion en or de doper le chiffre d’affaires tout en allégeant sa charge de travail. Le tout avec des outils simples, abordables, et à votre portée même si vous n’êtes pas “tech”. Alors, prêt à passer à l’action et à voir vos ventes décoller grâce au no-code ?

N’attendez plus pour moderniser vos processus de vente. Mettez en place vos premières automatisations de relance et constatez les résultats par vous-même – vous verrez, vous ne reviendrez plus en arrière. Et si vous souhaitez être accompagné dans cette démarche ou en savoir plus sur les bonnes pratiques adaptées au marché luxembourgeois, nous pouvons en discuter ensemble.

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